> Connaître le cours :

Fondamental dans toute matière, qu’elle soit scientifique ou littéraire, l’apprentissage des notions essentielles du cours est à la base de toute réussite scolaire.
Face à un contenu de cours souvent massif, beaucoup d’élèves se perdent dans les méandres et les détails sans importance du cours et ne se trouvent plus en mesure de distinguer l’essentiel de l’accessoire. La rédaction de plans ou de résumés de cours (que nous fournissons par ailleurs) l’aidera à y voir plus clair.
Par ailleurs, l’assurance pour votre enfant de bénéficier à l’avance d’un condensé de son cours lui permettra de pratiquer une écoute active en classe. Ainsi, il ne sera plus contraint de passer à côté des explications orales de son enseignant, occupé qu’il était à recopier le contenu du tableau.
L’apprentissage de la prise de notes est un axe que nous mettons également en avant.

> Connaître les méthodes :

Connaître son cours c’est bien, savoir l’appliquer c’est mieux !
Le problème majeur d’une bonne part des élèves que nous rencontrons est leur faible capacité à appliquer un cours pourtant bien appris.  Classiquement, l’élève coince dès que l’énoncé de l’exercice qui lui est soumis en devoir diffère, même légèrement, des exercices sur lesquels il s’est entraîné auparavant.
Le problème est lié à la méthode de travail de votre enfant. Plutôt que d’enchaîner les exercices les uns à la suite des autres (en espérant souvent que l’un d’eux tombe au prochain contrôle…), il est beaucoup plus efficace d’approfondir plusieurs exercices type en se concentrant sur l’articulation du raisonnement, sur les méthodes employées et sur la possibilité de réutiliser ces méthodes dans d’autres exercices similaires.
Le but est simple : face à telle situation je réagis de telle manière et pas autrement.

> Utiliser au mieux le temps imparti :

Une autre situation se présente régulièrement à nous : la mauvaise gestion du temps en condition d’examen.
Savoir résoudre un exercice donné, c’est bien (c’est même l’essentiel), encore faut il être capable de le terminer dans le temps imparti. Nombreux sont les élèves ne parvenant pas à boucler un devoir dans son intégralité.
On peut perdre du temps pour trois raisons :

  1. Erreur(s) de calcul obligeant à refaire l’exercice.
  2. Hésitation sur la méthode à employer
  3. Stress faisant perdre ses moyens temporairement.

Tous ces points sont généralement liés : c’est un cercle infernal !
L’élève peu ou mal préparé perd du temps une première fois en hésitant, puis une seconde en faisant une erreur, recommence, stresse, ce qui l’amène à se tromper à nouveau …et ainsi de suite.

Plus l’élève sera serein le jour de l’examen (car il s’est entrainé au préalable sur les bons exercices et qu’il sait donc à quoi s’attendre), moins il sera amené à rencontrer l’une ou l’autre des situations présentées ci-dessus. Et donc plus il gagnera de temps le jour J pour se relire présenter une excellente copie.

> Comprendre et s’approprier le cours :

A partir de l’instant ou votre enfant ne rencontrera plus aucun des trois problèmes évoqués plus haut, la voie jusqu’au baccalauréat sera toute tracée pour lui. Ces trois points sont en effet les seuls exigibles en cycle collège-lycée. Ce n’est en revanche pas nécessairement suffisant pour la poursuite de ses études.
Il vous est forcément arrivé au moins une fois qu’un enfant (ou jeune adulte désormais) de votre entourage, considéré comme un bon élève, s’écrouler après le bac et rater ses études supérieures.

La raison, hors considération externe, en est assez simple : le collège et le lycée ne préparent pas ou plus entièrement aux exigences du supérieur. Ce que l’on y demande, c’est que l’élève soit capable de s’approprier son cours. De comprendre ce qu’on lui demande et non plus seulement de l’appliquer sans réfléchir.

Pour certains la marche est très voire trop haute, c’est pourquoi nous nous assurons également que chaque élève, au-delà de l’application brute des méthodes, comprenne l’intérêt à moyen et long terme des notions qui lui sont enseignées, typiquement par le biais d’exercices appliqués aux autres sciences, telles que la physique ou l’économie.

Le but étant de répondre au mieux à la question lancinante ‘A quoi ça sert ce que l’on fait ?’, malheureusement trop peu prise en considération aujourd’hui.